Trans | Internet-Zeitschrift für Kulturwissenschaften | 16. Nr. | April 2006 | |
14.1. Re-Shaping Eastern Communities’ Patterns through the European Union Context |
Valerica Sporiş (Université «Lucian Blaga», Sibiu, Roumanie)
À présent, en Roumanie, on constate un revirement de la stylistique. L’enseignement préuniversitaire et universitaire dans notre pays prête attention à quelques aspects de ce domaine. L’une des compétences du processus instructif-éducatif est la formation d’habitudes d'appliquer l'analyse stylistique aux textes littéraires ou non-littéraires. Ce «retour» de la stylistique est aussi analysé par les chercheurs étrangers, surtout européens(1). Depuis deux-trois décennies, la stylistique suscite d’innombrables discussions et controverses concernant son «retour», sa «réhabilitation» ou son «avenir». Dans ces circonstances, nous allons essayer de présenter des méthodes et des solutions pour résoudre les problèmes qui nous intéressent, en insistant évidemment sur l'analyse stylistique dans le contexte roumain et européen actuel.
Notre démarche fait partie d'une ample étude systématique sur la méthodologie de la recherche stylistique qui nécessite un trajet qui suppose quelques étapes fondamentales:
L'élaboration et l'application de l’analyse stylistique représentent un facteur essentiel pour reconnaître l'autonomie et le caractère scientifique de la stylistique. Il faut se poser la question si la stylistique est une science ou non. On sait qu’une science représente un «ensemble de connaissances, de travaux d’une valeur universelle, ayant pour objet l’étude de faits et de relations vérifiables, selon des méthodes déterminées»(2). Une science autonome doit clairement délimiter son objet de recherche et sa finalité, en supposant l’existence d’un système bien organisé d’éléments et de relations, d’un langage spécialisé, ou bien encore d’une méthodologie adéquate au contenu. Généralement parlant, la stylistique remplit les conditions requises. Tout en étant, sans doute, une branche de la science de la langue et du langage, la stylistique répond aux exigences de l’autonomie épistémologique. Le statut autonome de la stylistique s’affirme en même temps que la parution des principaux livres écrits par Charles Bally: Précis destylistique (1905) et Traité de stylistique française (1909).
Par son ouverture interdisciplinaire, par ses relations multiples avec la théorie, l’histoire et la critique littéraire, la narratologie, la poétique, la grammaire, la sémiotique, la sociolinguistique, la pragmatique, la linguistique du texte etc., la stylistique a déclenché beaucoup de controverses regardant son statut de discipline autonome. Les principaux domaines déjà énumérés doivent être exploités pour servir aux études stylistiques. À son tour, la stylistique leur offre une partie de ses «outils». Il s’agit de la transdisciplinarité. L’hétérogénéité des modèles analytiques est due à l’ouverture sur les diverses formules de lecture, d’analyse et d’interprétation du texte qui résultent justement du caractère mobile de la stylistique. C’est pourquoi la délimitation de son objet a depuis toujours constitué un grand problème pour les chercheurs. Par exemple, selon Michael Toolan la stylistique («linguistique littéraire») n’est pas quelque chose de précis(3), mais il lui reconnaît les relations avec d’autres disciplines. D’ailleurs, le stylisticien doit avoir une large culture de spécialité. Malgré que la stylistique ait été considérée longtemps soit comme une discipline «indécise»(4), «dilemmatique»(5), soit «de frontière»(6), «hybride»(7), même «bâtarde»(8), elle est vraiment la science du style. Elle s’est spécialisée à établir les caractéristiques des styles individuels et fonctionnels (collectifs) et à mettre en évidence les valeurs expressives-esthétiques des faits langagiers. La stylistique étudie «le style dans la manifestation individuelle ou collective»(9), la manière dont la forme se trouve en adéquation avec le contenu dans un acte de langage (poétique ou non-poétique).
Les linguistes considèrent qu’il existe apparemment deux façons «d’entrer dans l’étude stylistique»: on étudie soit l’expression, soit les effets. Nous sommes d’avis qu’il faut étudier les deux.. Il faut examiner les déterminations formelles d’un texte et voir comment tel ou tel effet se produit dans un corpus donné. L’étude du style d’un écrivain ou l’analyse stylistique d’un texte littéraire met en évidence l’expression individuelle de l’auteur, sa réaction par rapport au contenu du message. Le stylisticien est intéressé par «l’espace d’alentours de l’expression individuelle»(10).
Les principaux innovateurs de la stylistique sont: Charles Bally, Karl Vossler, Léo Spitzer. L’initiateur de la stylistique (affective ou expressive), Charles Bally, affirmait: «La stylistique étudie (...) les faits d’expression du langage organisé au point de vue de leur contenu affectif, c’est-à-dire l’expression des faits de la sensibilité par le langage et l’action des faits de langage sur la sensibilité»(11). La stylistique de Bally étudie donc les faits de parole («langue» parlée), les faits expressifs ou émotifs. Ce styliste fait abstraction des textes littéraires, «la langue» des écrivains. L’un des linguistes roumains tributaires de la conception de Bally est Iorgu Iordan(12). Selon Karl Vossler, la stylistique fait partie de l’esthétique. C’est la deuxième direction de la stylistique, littéraire ou esthétique. Le linguiste représentatif qui a essayé d’harmoniser les deux tendances stylistiques est Léo Spitzer. Dans son livre Stilstudien, il a bien fait la distinction entre Stilsprache (la langue du style) et Sprachstile (les styles de la langue).
Nous ne considérons comme absolue ni la valeur de la stylistique affective, ni celle de la stylistique littéraire. Nous partageons la conception selon laquelle la stylistique signifie «la stylistique de la langue», mais en même temps «la stylistique de la parole»(13).
Dans notre étude dont le titre est interrogatif: L’analyse stylistique: méthode ou technique de la recherche du texte?, nous allons essayer de démontrer que l’analyse stylistique, par sa complexité, n’est pas seulement une méthode, mais aussi une technique d’approche et d’interprétation du texte. Dans ce but, on commence par définir les concepts de méthodologie, de méthode et de technique. Le terme de méthodologie désigne la totalité des méthodes appliquées à un certain domaine de la science. C’est un mot dérivé du nom méthode qui provient du terme grec m e θοδος < m e t a + o d o V. En général, la méthode est une modalité systématique d’investigation, de connaissance et de transformation de la réalité objective, un «ensemble de démarches que suit l’esprit pour découvrir et démontrer la vérité; ensemble de démarches raisonnées, suivies pour parvenir à un but»(14). Elle est constituée par un ensemble de procédés appliqués systématiquement à un domaine spécialisé, suivant un but bien déterminé et efficace. La méthode applique la théorie et, pour prouver son efficacité, il est nécessaire qu’on respecte quelques conditions: la sélection rigoureuse des procédés, leur cohérence et leur constance, l’adéquation à l’objet investigué, une grande capacité d’application. En linguistique, la méthode se définit comme une manière systématique d’étudier les faits langagiers, un ensemble de procédés utilisés dans la recherche d’une certaine langue.
Pour argumenter que l’analyse stylistique est une technique de recherche, on part du terme grec τέχυη qui signifie art, profession, métier, habileté. Les Anciens affirmaient qu’on peut parler de téchē seulement dans le cas où on arrive à la connaissance des causes, en partant des expériences individuelles, par leur généralisation.(15) Ainsi, la technique désigne-t-elle l’«ensemble de procédés employés pour produire une œuvre ou obtenir un résultat déterminé»(16) dans un domaine spécialisé de l’activité ou de la connaissance. La science appliquée se met au service de la technique.
Comme technique de recherche du texte littéraire, l’analyse stylistique suppose un système de procédés et de méthodes, une suite de démarches applicatrices, en s’appuyant sur une base langagière. Elle constitue un type d’analyse qui se propose de souligner les ressources expressives-esthétiques du texte ou son appartenance à une certaine variété fonctionnelle de la langue. Par essence, ce type d’analyse est descriptif.
Quant à l’analyse stylistique du texte littéraire, plusieurs hypothèses ont été émises:
De suite, pour illustrer notre propos, nous allons présenter l’inventaire des méthodes et des procédés qui se trouvent dans notre sphère d’intérêt, en prouvant ainsi la complexité de la recherche stylistique.
On affirme souvent que tout texte a du style, c’est-à-dire que tout texte exemplifie un style. L’un des buts de l’analyse stylistique est d’établir l’appartenance d’un certain texte à un langage / style fonctionnel ou à l’autre, mettant en évidence les traits spécifiques et d’interférence.
Nous avons en vue le style / le texte littéraire (texte entier ou fragment de texte, texte en vers ou en prose, texte épique, lyrique ou dramatique). On pose les postulats suivants: le texte littéraire est le résultat d’une structure langagière; la structure langagière qu’on examine répond à la fonction poétique / esthétique; l’analyse est un travail post-factum (le texte existe déjà comme enchaînement de mots, de propositions et de phrases); la première condition de l’analyse est la compréhension du texte; il y a beaucoup de modèles d’analyse et d’interprétation d’un texte.
Pour décrire une structure langagière, il faut démonter ses éléments, découvrir les relations qui existent entre eux, tout cela continuant par la compréhension des effets. Le stylisticien est intéressé par la structure et le fonctionnement du texte littéraire; il doit dépasser le niveau phrastique et atteindre le niveau du discours. L’analyse stylistique, dans ce cas, répond aux questions suivantes:
Dans ces circonstances, on prouve la relation de l’analyse stylistique avec l’analyse littéraire, mais aussi avec l’analyse linguistique.
Nous présentons ici quelques modalités d’approches stylistiques du texte littéraire:
Les grandes étapes de cette démarche sont les suivantes(19):
Georges Molinié considère que «trois tâches semblent nécessaires pour l’examen du discours figuré: identifier qu’il y a figure, décrire le système langagier, traduire»(20). Il faut parcourir les pas suivants: identification, démontage, investigation (de la forme de la figure, de son degré et son niveau), interprétation. Le même linguiste distingue deux grandes catégories de figures:
On parle de figures «organisatrices» ou «trans-locales» (l’amplification, la contradiction, l’allusion, la répétition etc.) qui regroupent un certain nombre de figures «locales»(22).
Nous voulons expressément mettre en évidence le parcours interprétatif de type sémiostylistique qui représente un moment très important dans «le devenir» sémiotique de la stylistique. Cette méthode appliquée par Ileana Oancea est semblable à la méthode herméneutique du point de vue de sa finalité. Mais les moyens d’approche appartiennent à la sémiostylistique. Le fondement de cette conception est l’idée que «l’exégèse stylistique représente, en dernière instance, un art de l’interprétation, démarche créative par excellence»(24). C’est-à-dire que la stylistique doit entretenir une relation dynamique avec le texte et sa réception. On ne parle plus d’une analyse du texte littéraire, mais de son interprétation. Les solutions proposées par Ileana Oancea sont les suivantes:
Par conséquent, la stylistique partage avec la sémiotique et la critique le vaste mouvement herméneutique. D’ailleurs, l’une des caractéristiques des XX-XXI siècles est l’interdisciplinarité.(25)
Les études sur la langue et sur le style de l’écrivain affirment la relation étroite entre la linguistique et la littérature et proposent comme objectif principal la recherche des inflexions personnelles dans une œuvre littéraire en vertu de la fonction poétique de la langue. On parle non plus d’écart, mais de variation stylistique, de singularité, d’individualité. L’expressivité résulte de la sélection et de la combinaison originale des mots dans le discours. Ce qui compte c’est la vision personnelle de comprendre, voir, sentir le monde et la vie de chaque auteur.
L’analyse du texte littéraire et du style de l’écrivain nous révèle d’autres objectifs aussi:
Ce type d’approche dépasse le territoire de la stylistique, en se situant entre la rhétorique et la poétique. Cette direction de la stylistique doit assumer son «hybridité»(26). «La notion de genre en effet est inséparable de celle de style (...)»(27) affirme Pierre Guiraud. On distingue en gros les genres et les sous-genres suivants: lyrique, épique, romanesque, dramatique, tragique, comique, pastoral ou bucolique, oratoire etc. Certains linguistes ont observé que les travaux dans le domaine de la stylistique des genres sont assez rares.
C’est une méthode d’analyse partielle qui peut être accessible et efficace. L’attention du chercheur se dirige vers un champ restreint d’approche: des éléments de langage / de style (familier, populaire, soutenu, figuré etc.) dans un corpus donné; des faits langagiers susceptibles d’être analysés à un certain niveau ou dans un fragment de texte; une particularité d’une œuvre ou d’un écrivain; l’étude de l’emploi d’une certaine figure dans une œuvre littéraire etc. Par cette méthode, on essaie d’épuiser les valeurs stylistiques expressives et impressives du texte. Cependant, il y a l’inconvénient de ne pas offrir une image complète de l’œuvre et du style de l’auteur.
Nous avons essayé de démontrer la complexité de la méthodologie de la recherche stylistique dans le contexte national et européen actuel. Les «stylistiques actuelles» sont des stylistiques «composites» qui partent des stylistiques «d’originaires / de fondatrices»(28) de Charles Bally, Karl Vossler, Leo Spitzer. La stylistique contemporaine maintient l’accent sur le rapport entre la forme / l’expression et le contenu / le sens. Elle vise la «praxis énonciative»(29); la stylistique est «l’étude de la langue en action.»(30), «une linguistique du contexte»(31).
Les méthodes de la stylistique, qui est une science controversée, sont diverses et multiples. «Il faut travailler, trier la matière; user et changer les outils; mais il vaut mieux rester sur le terrain.»(32) Ainsi, selon G. Molinié la stylistique est «d’abord une praxis», une discipline «de terrain»(33). Bien que les points de contact de la stylistique avec d’autres disciplines sont assez nombreux, la stylistique reste elle-même: «non seulement l’histoire littéraire, ni la psycho-critique, ni la psychologie des personnages, ni les considérations sur l’habileté de l’auteur ou des protagonistes, ou sur l’atmosphère de la scène...mais même pas l’analyse de la profondeur ou de la beauté du passage, ni de la portée idéologique de ce qui est exposé, ni des sentiments du lecteur à la réception. La stylistique s’attache exclusivement et exhaustivement au repérage et au démontage des déterminations formelles, à leur combinaison et à leur portée dans le système expressif global.»(34)
On a prouvé en même temps que la stylistique n’a pas pâli, l’intérêt pour l’analyse de ce type non plus. Par le changement de la modalité d’approche du texte littéraire et par l’utilisation des moyens modernes, la stylistique a diversifié son horizon et elle s’est raffinée à la longue. Elle suppose une méthode et une pratique à la fois. «Une méthode valorise autant que la personne qui l’utilise.»(35) La décision méthodologique appartient à chaque chercheur qui est responsable de ses analyses. La méthode est choisie en fonction de son expérience et du but de l’investigation. On ne peut pas oublier le fait que chaque type textuel sollicite, par ses besoins d’ordre intrinsèque, une méthode ou une autre. La compétence de l’auteur y intervient.
© Valerica Sporiş (Université «Lucian Blaga», Sibiu, Roumanie)
CITES
(1) Cf. L es chercheurs qui ont publié des articles dans la revue «Langue française»: La stylistique entre rhétorique et linguistique, Paris, Larousse, numéro 135, septembre 2002.
(2)Le Robert. Dictionnaire d’aujourd’hui, Paris, 1991 , p. 928.
(3) Michael Toolan. 2002. On the Centrality of Stylistics, dans la revue The European English Messenger. vol. XI / 1, Spring. p.19: «Nothing too precise.» (notre traduction en français).
(4) Pierre Guiraud. 1979. La stylistique. Paris: P.U.F. p. 9.
(5) Ileana Oancea. 1998. Semiostilistica [La sémiostylistique]. Timişoara: Excelsior. p. 11 (notre traduction en français).
(6) Emil Ionescu. 1997. Manual de lingvistică generală [Précis de linguistique générale]. Bucarest: All. p. 214 (notre traduction en français).
(7)La revue citée (cf. les divers chercheurs), p. 41.
(8)Ibid.
(9) Paul Magheru, Noţiuni de stil şi compoziţie [Notions de style et de composition], Bucarest, Coresi, 1991, p. 10 (notre traduction en français).
(10) Tudor Vianu. 1965. Cercetarea stilului [La recherche du style], dans Despre stil şi artă literară [Sur le style et l’art littéraire.] Bucarest: Editura Tineretului. p. 218 (notre traduction en français).
(11) Charles Bally. 1909. Traité de stylistique française. I. Heidelberg. p.16; apud. René Amacker, Charles Bally et la stylistique, dans La grammaire française entre comparatisme et structuralisme, Colin, 1991, p. 129.
(12) Iorgu, Iordan, Stilistica limbii române [La stylistique de la langue roumaine], Bucarest, Editura Ştiinţifică, 1975.
(13) Eugenio Coseriu. 1995. Introducere în lingvistică [ Introduction à la linguistique ]. Cluj[-Napoca]: Echinox. p. 98. (notre traduction en français).
(14)Le Robert. Dictionnaire d’aujourd’hui, p. 638.
(15) Francis E. Peters. 1997. Termenii filozofiei greceşti [Les termes de la philosophie grecque]. Bucarest: Humanitas. pp. 267-269.
(16)Le Robert. Dictionnaire d’aujourd’hui, p. 997.
(17) Georges Molinié. 1986. Éléments de stylistique française. Paris: PUF. p. 140.
(18) D.D.Draşoveanu, M. Zdrenghea, P. Dumitraşcu. 1966. Analize gramaticale şi stilistice [ Analyses grammaticales et stylistiques]. Bucarest: Editura Ştiinţifică. pp. 161-162 (notre traduction en français).
(19) Gh.N.Dragomirescu. 1995. Dicţionarul figurilor de stil [ Le dictionnaire des figures de style]. Bucarest : Editura Ştiinţifică. p. 57 (notre traduction en français).
(20) Georges Molinié, le livre cité, p. 84.
(21)Ibid., pp. 81-116.
(22) Jacques Fontanille, De l’adjuvant expressif au «projet sémiologique», dans la revue citée, p. 59.
(23) Etienne Stéphane Karabétian (cf. Schleiermacher), Pour une archéologie de la stylistique, dans la revue citée, p. 23.
(24) Ileana Oancea, le livre cité, p. 5 (notre traduction en français).
(25) Constantin Frâncu. 1999. Curente şi tendinţe în lingvistica secolului nostru [C ourants et tendances dans la linguistique de notre siècle]. Iaşi: «Demiurg». p. 5.
(26) Dominique Combe, La stylistique des genres, dans la revue citée , p. 42.
(27) Pierre Guiraud, le livre cité, p. 16.
(28) Etienne Stéphane Karabétian, l’article cité, p. 18.
(29) Jacques Fontanille, l’article cité, pp. 65-66.
(30) Ion Coteanu. 1973. Stilistica funcţională a limbii române[ La stylistique fonctionnelle de la langue roumaine ] , I, Bucarest:, Editura Academiei, p. 8 (notre traduction en français).
(31) Ştefan Munteanu. 1998. Studii de lingvistică şi stilistică [Études de linguistique et stylistique ]. Piteşti: Pygmalion. p. 122 (notre traduction en français).
(32) Georges Molinié, le livre cité, p. 201.
(33) Jean Michel Adam, Le style dans la langue et dans les textes, dans l a revue citée , p. 72.
(34) Georges Molinié, le livre cité, p. 146.
(35) Ileana Oancea, le livre cité, p. 66 (notre traduction en français).
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